Clari­cello c’est une boite à musique, une mécanique poé­tique incar­née par trois lutins qui jail­lis­sent avec ten­dresse et imper­ti­nence de leur cubes valises.

Trois lutins courants d’air qui nous invi­tent toutes lanternes allumées à vis­iter leurs castello.
Trois génies musi­ciens, danseurs, poètes qui sans avoir l’air nous char­ment et nous désar­ment par leur façon de traiter leurs instru­ments com­plices…
Trois homo-ludi­cus qui dansent sur le Tic-Tac de l’horloge chan­tante, et appa­rais­sent sans lim­ites les jours où les étoiles clig­nent des yeux.
Tels des ani­maux qui faussent com­pag­nie à leurs étuis, les instru­ments de musique vien­nent s’installer dans les mains des per­son­nages de cette his­toire qui n’a ni queue ni tête.

Clari­cello ?
Clari, une clar­inette qui a du souf­fle et qui ne manque pas d’air, surtout dans la tête.
Cello, un vio­lon­celle, ce gros violon que l’on frotte avec une baguette mag­ique, un archet.
Et Leopold, étrange per­son­nage venu on ne sait d’où.

La clar­inette soupire, le vio­lon­celle s’étire, les valises grin­cent, les marottes appa­rais­sent et dis­parais­sent.
Et là ça se com­plique… le bur­lesque & la danse s’invitent dans la musique clas­sique !
Si les sons ont le pou­voir de nous faire voy­ager à tra­vers le monde, ici ils nous font côtoyer de drôles de voyageurs !

Un spec­ta­cle pour faire le tour de leur monde…un bout du monde offert juste devant le bout de votre nez.